« Refuser l’éducation à la sexualité à l’école, c’est laisser sur le bord de la route les 160 000 enfants victimes de violences sexuelles chaque année », estime Jeanne Quilfen, vice-procureure.
""Je suis vice-procureure dans une ville moyenne, plus spécifiquement en charge des atteintes aux personnes. Je traite entre autres des affaires de violences intrafamiliales, notamment sur des mineurs, et donc, des cas d’inceste et de violences sexuelles. Je suis atterrée par les polémiques sur l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS) à l’école"...
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L’éducation à la sexualité à l’école est nécessaire, mon travail de procureure me le prouve au quotidien »