Promouvoir une bonne santé mentale chez les enfants et les jeunes adultes

🧠 #SantéMentaleDesJeunes : Une priorité pour l'avenir ! 🧠

Découvrez les 11 meilleures pratiques de l'OCDE pour promouvoir une bonne santé mentale chez les enfants et les jeunes. Ensemble, agissons pour un avenir plus sain et prospère !

➡️🔗 Promoting good mental health in children and young adults - https://www.oecd.org/en/publications/promoting-good-mental-health-in-children-and-young-adults_ebb8aa47-en/full-report.html

Rapport en anglais - Avec l'extension Mate Translate dans Chrome par exemple vous pouvez avoir la traduction en français

📚📚  La santé mentale des enfants et des jeunes en Europe est en déclin, avec une augmentation des troubles anxieux et dépressifs. La pandémie de COVID-19, la crise climatique, les conflits armés et l'utilisation excessive des réseaux sociaux sont des facteurs majeurs. Les symptômes de mauvaise santé mentale sont souvent sous-diagnostiqués et peuvent évoluer vers des troubles plus graves sans intervention précoce.

L'OCDE identifie 11 meilleures pratiques pour promouvoir une bonne santé mentale chez les jeunes. Les programmes scolaires comme Zippy's Friends et This is Me réduisent les comportements difficiles et l'isolement social. Le soutien proactif en santé mentale, tel que @Ease aux Pays-Bas et la réforme belge, offre un accès rapide et gratuit aux soins psychologiques.

Les programmes de prévention du suicide, comme SUPRA en Autriche et VigilanS en France, réduisent les risques de suicide et améliorent le suivi après les tentatives de suicide. Les acteurs de terrain doivent améliorer l'accès aux soins, utiliser les écoles comme plateforme, renforcer la littératie en santé mentale et adapter les programmes aux besoins des jeunes. La mise en œuvre de ces pratiques nécessite une augmentation de la capacité de la main-d'œuvre en santé mentale et des coûts pour les gouvernements.

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Points clés pour des applications pratiques par les acteurs de terrain

1. Importance de la santé mentale des jeunes :
   • La santé mentale des enfants et des jeunes en Europe est en déclin, avec une augmentation des troubles anxieux et dépressifs.
   • Les symptômes de mauvaise santé mentale sont souvent sous-diagnostiqués et peuvent évoluer vers des troubles plus graves sans intervention précoce.
2. Facteurs contribuant au déclin de la santé mentale :
   • La pandémie de COVID-19, la crise climatique, les conflits armés et l'utilisation excessive des réseaux sociaux sont des facteurs majeurs.
   • Les relations familiales stables, les environnements sociaux positifs et l'accès aux services de santé mentale sont des facteurs protecteurs.
3. Lacunes dans les politiques de santé mentale :
   • Bien que de nombreux pays européens aient des stratégies nationales en matière de santé mentale, leur mise en œuvre varie et des lacunes subsistent.
   • Les besoins non satisfaits en matière de soins de santé mentale restent élevés, en particulier pour les jeunes.
4. Meilleures pratiques identifiées par l'OCDE :
   • Programmes scolaires : Zippy's Friends, This is Me, et Icehearts réduisent les comportements difficiles et l'isolement social.
   • Soutien proactif en santé mentale : @Ease (Pays-Bas) et la réforme belge offrent un accès rapide et gratuit aux soins psychologiques.
   • Prévention du suicide : SUPRA (Autriche) et VigilanS (France) réduisent les risques de suicide et améliorent le suivi après les tentatives de suicide.
5. Recommandations pour les acteurs de terrain :
   • Améliorer l'accès aux soins : Faciliter l'accès à un soutien à faible seuil via des réseaux multisectoriels et des outils en ligne.
   • Utiliser les écoles comme plateforme : Mettre en œuvre des programmes universels pour développer les compétences sociales et émotionnelles.
   • Renforcer la littératie en santé mentale : Réduire la stigmatisation et encourager les jeunes à chercher de l'aide.
   • Adapter les programmes aux besoins des jeunes : Concevoir des interventions spécifiques pour les enfants et les adolescents.
6. Implications pratiques pour la mise en œuvre :
   • Augmenter la capacité de la main-d'œuvre en santé mentale et créer de nouveaux rôles si nécessaire.
   • Prévoir des coûts pour les gouvernements afin de garantir un accès gratuit aux soins psychologiques.
   • Surveiller les nouveaux facteurs de déclin de la santé mentale, notamment l'impact des environnements numériques.